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19 octobre 2012

Accord oseille et poivre

C'est moi Catherine, qui l'ai choisie. Le portrait type de la femme dangereuse. Une voleuse d'homme potentielle… voleuse, voire convoleuse !

Elle possédait tout ce que Marc aimait regarder dans la rue, se retourner à mon insu… mater un cul d'andalouse à me rendre jalouse. Dans un cadre libertin au moins je pourrait contrôler la situation, lui permettre de dépasser ce cas type, passer à autre fantasme. Elle était aussi brune que moi blonde, la nuque fine, les épaules souples, la taille fine. J'imaginais son cul cambré onduler et déclencher des torrents de testostérone… Deux hémisphères onduler animées par deux longs fuseaux parfaits, des attaches fine, le tendon d'Achille nerveux faisait dans le prolongement de talons aiguille infinis. C'était l'impression qu'elle me donnait sur le site libertin. Elle était de dos, les ombres mettaient en valeur ses courbes. Jambes légèrement écartées et penchée sur un sofa cramoisi, son cul paraissait comme une offrande … Un tabernacle de lèvres généreuses, un réel terrain de jeu buccal.

 

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Nous arrivons chez les hôtes de cette soirée multi-couple. Pas d'andalouse ! Je ne m'étais pas trompée. Une femme dangereuse, une femme qui se fait attendre au delà des codes du savoir vivre. Nous avions déjà effectué les tests MST et sifflé une ou deux bouteilles de bulles, lorsqu'apparaît la brune "incendiaire" au bras de la maitresse de maison. Je leur tourne le dos pour regarder le regard et la bouche des mâle qui dans les prochaines heures devrait nous saillir.

Les regards, les langues, il se pourlèchent, les chiens ! Je me décide à la considérer. Bien sûr c'était elle, cheveux noirs de jais mais des yeux verts à se perdre dans son regard. A mon tour je lui fais la bise, humant son parfum capiteux : phéromone de femelle disponible. Avec hardiesse je tourne la tête vers elle, échange un baiser à la limite de ses lèvres charnues, commissure contre commissure pour échanger un micro gramme de salive. Je prolonge ce baiser par un long regard mi drague mi domination. Personne ne cède. Puis nous nous éloignons avec un léger sourire approbateur : Comme on passe un plateau d'amuse gueule, je lui présente Marc.

Elle défait son imper serré à la taille. Elle porte une robe totalement transparente en filet noir. Du parfum, cette robe rien de plus. Des seins généreux, sportifs, des aréoles brunes surmonter par un mamelon en érection permanente. Rien à redire, le ventre plat légèrement musclé. J'avise Marc : "Elle te plait mon cochon ! Et bien à moi aussi. Tu la mérites. Mon homme la mérite !" Pour seule réponse il pique un fard.

L'andalouse fut honorée par tous les mâles de la soirée, elle dégusta presque toute les chattes. Mais elle semblait en représentation. Elle semblait encore déambuler sur les podia des grand couturiers. Presque service commandé. Un plan cul de luxe en quelque sorte. Au cours de la soirée je n'ai pas cessé de plonger mes yeux dans son regard quand elle était au plus fort de l'action. La soirée avançait, des couples satisfassent prenaient congé. Marc et moi nous étions sur un canapé bien fatigué lui aussi.

Je croise le regard de la belle, insiste avec une légère approbation de la tête. Elle approche, se penche. Réflex, Marc écarta légèrement les jambes, je remonte les miennes sur mes seins. Enfin , je susurre à l'oreille de l'andalouse. "Dans la vraie vie c'est quoi ton prénom ?". Avec un léger accent de l'est elle lâcha : "Anna". Je poursuis : "On te raccompagne ou tu prends la douche chez nous ?" "Chez vous, on m'a dit tant de bien de votre appartement !"

Nous avons pris congé de nos hôtes d'un soir, nus sous nos impers ou trench-coat, les autres dépouilles en vrac dans un sac de super marché. "tMarc, tu fais le chauffeur de ces dames ?"  Enfin seules à l'arrière du véhicules, moi et une presque récente icône de la mode. Nous nous sommes dégustées, mélangées, salive, puis cyprine… Arrivé à la maison Marc doit interposer ses doigts entre mes lèvres et celles plus intimes d'Anna pour nous inviter à quitter l'habitacle. Un instant il fit quelques aller et venue entre  la caverne de la belle et ma bouche. Nous avons marché quelques pas sur le trottoir, vêtements ouverts.

La fraicheur d'immisce entre mes jambes, frais comme la saveur d'oseille de l'intimité profonde d'Anna. La porte cochère, les escalier, Marc derrière nous, de l'index, il nous aide à monter chaque marche. L'appartement, les vêtement, ce qu'il en reste tombe à terre, la douche ensemble, un baiser en trio, très vite nous glissons vers la queue de Marc que nous partageons avec avidité. Il s'écrie… "Je ne vais pas tenir." Après un regard complice, nous redoublons. Elle gagne, une chance sur deux. Il jouit dans la bouche d'Anna. A mon tour, j'essore Marc jusqu'à la dernière goutte. "Chéri, débande vite on te réanimera tout à l'heure." Il sort de la douche, Anna et moi sommes a genou sous cette pluie bienfaisante. Nous échangeons un formidables baisers parfumé au sperme de Marc. "Il est poivré ton homme, j'aime". Je réplique : "Tu aimerais sentir son jet crème fouetter en toi la porte du col ?" Réponse spontanée : "Oh oui !"  Question : "Tu as fais le test ?"… "Oui, tout est OK" !

Mon chéri était sur le canapé : "Chéri tu nous prépare quelque chose ?" "Musique, thé et biscuits, ça vous va ?, Ok 8 Je choisis un CD et je disparais à la cuisine". Marc adorait me laisser découvrir nos invités à mon rythme. La musique nous invitait à la danse, un danse lascive… La danse reste le meilleur prélude. poitrine bien serrées, baisers mouillés, jambe dans l'entrejambe de la partenaire, caresses dans le dos, la taille, les fesses… Le désir revient, j'entraine Anna sur la mezzanine. Anna rit : " En bas l'espace à vivre… en haut l'espace consacré au plaisir". Un très large matelas recouvert d'un drap de satin immaculé nous attend. Nous avons très envie l'une de l'autre. Très vite nous dégustons réciproquement nos intimités avec une extreme douceur. Est-il utile de préciser que la chaine s'était laissé aller à jouer "69, année hérétique" !

Marc nous rejoint avec un plateau et la collation.Le thé n'est pas brulant. Nous dégageons quelques instants pour reprendre des forces. Marc reçoit sa récompense. Anna est moi dégustons ce thé viril qui redonnera bien vite de la vigueur à Marc. Après cette intermède nous reprenons notre échange au féminin avec plus de vigueur. Les reins se creusent. Gémissement ! Nos sources féminines abondent. Marc commence à nous caresser, les dos, l'échine, les quelques pouces d'intimité encore disponible. Je m'dresse à lui : " Chéri, maintenant, tes femelles ont besoins d'être saillie. Marc est devenu notre petit cuillère. Il alterne pendant de longues minutes à prendre ainsi tantôt l'une tantôt l'autre. Pour le remercier nous lui offrons un concert de vocalises. Je 'écarte un instant pour reprendre mon souffle : " Anna tu es notre invitée, tu auras droit au désert."

Ce fut un signal pour Marc. Il redoublait l'étreinte pour Anna. Moi-même, j'aspirais, roulais avec la langue le boutons de la brune aux yeux vert. Ses ongles s'enfoncèrent dans mes fesses, elle se collait à ma bouche. J'ai pressé sur les bourses de mon hommes. Le signal. Dans un long brame il déversa sa semence au plus profond d'ana. Agitée de mouvements convulsif, elle cherchait son souffle. Nous sommes longtemps resté ainsi. Marc perdait de la vigueur. Il s'est retiré Je l'ai longuement dégusté. Puis ce fut au tour d'Anna de partager avec moi la liqueur né de son accouplement avec mon mari. Elle me demanda : "reste là encore, je suis comblée, je suis heureuse. J'ai fouillé son vagin, recueilli ce fluide du plaisir, elle et lui, l'oseille et le poivre. Elle s'est assise sur mon visage pour m'offrir tout ce que marc lui avait donné. J'ai conservé un peu de ce nectar dans ma bouche avant de solliciter un baiser. A son tour sa langue, fit la toilette de mon visage empesé. Je crois que nous sommes endormies.

Au matin Marc nous apportait les croissant.

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